samedi 10 septembre 2016

A l’intention des lecteurs de la chronique « Sous l’olivier »

La chronique « Sous l’olivier » est publiée sur les réseaux sociaux :
Ø  Groupe fermé « Athlétisme »
Ø  Groupe fermé « FOREPS »
Ø  Page Facebook « Sous l’olivier »
Ø  Sur le blog « sousolivier. blogspot.com » qui entraîne une publication sur Google+
NB : Pendant quelques temps, elle a été publiée dans le groupe fermé « Athlétisme : info live » qui offre une belle couverture factuelle de l’athlétisme algérien. Une page dont nous recommandons la lecture.
Ayant le sentiment de l’avoir squatté et d’en avoir pollué le concept nous avons cessé d’y publier la chronique. Il en sera de même de la page FOREPS lorsque celle-ci aura retrouvé toute sa dynamique. Ce qui semble être en bonne voie.
Nous projetons également de mettre fin au groupe « Athlétisme » qui ne répond pas au concept originel d’ouverture et que nous avons "fermé" par méconnaissance des options Facebook.
D’ici le fin du mois, la chronique ne sera publiée que sur la page « Sous l’olivier » et sur le blog « sousolivier. blogspot.com » qui rassemble la totalité des chroniques et quelques articles (Makhloufi, athlétisme constantinois, handisports).
Le concept de « Sous l’olivier » n’ayant pas été compris par de nombreux nouveaux lecteurs, nous publions ici et maintenant ce qui pourrait permettre de mieux l’appréhender.
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Le 16 février 2016, à l’occasion de la première publication de « Sous l’olivier » sur Facebook, nous écrivions :
« Aujourd’hui, lancement de la page Facebook intitulée « Sous l’olivier »,   venant en appoint à la publication de la chronique sportive éponyme paraissant, du samedi au jeudi, dans les colonnes du quotidien sportif algérois « Le Géant Sportif » ainsi que dans le blog « sousolivier.blogspot.com » et sur Google +.
Cette chronique délaisse la fonction première  de la presse consistant à informer les lecteurs. N’ayant pas la prétention de rivaliser sur ce plan avec nos confrères, nous avons choisi d’explorer la seconde fonction, celle qui veut en faire un outil pédagogique qui inciterait le lectorat à explorer des aspects très peu souvent mis en avant.
La première chronique a situé son contexte. Voir autrement les thématiques, les faits et les situations qui ont attiré notre attention. Leur perception est tout à fait subjective. Nous réagissons en fonction de nos connaissances et de notre vécu et tentons de structurer notre compréhension et notre argumentation en fonction d’une contrainte matérielle et éditoriale impitoyable qui nous conduit trop souvent à des schématisations qui peuvent paraître insupportables à ceux qui prétendent détenir la Vérité ou du moins les éléments constitutifs.
La grille de lecture proposée à nos lecteurs ne prétend pas être un instrument apte à l’émergence de la Vérité, une notion vide de sens lorsqu’on la confronte à l’immensité du Savoir humain accumulé depuis des millénaires et aussi et surtout à ces idéologies multiples qui la traverse et aux expériences individuelles des lecteurs qui en feront irrémédiablement la critique.
La chronique « Sous l’olivier » se voulait et se veut toujours un espace d’échanges, comme le fut sous nos cieux méditerranéens cet arbre millénaire dont un bout de branche emporté par une colombe blanche incite à la paix alors que la possession de la terre qui le porte mène à la guerre.
Pour de nombreuses raisons, nous vous proposons la lecture de la toute première chronique « Alea jacta est ». En hors d’œuvre à la parution de la suite de la chronique interrompue pendant plusieurs semaines. Une deuxième série en quelque sorte. »  
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Sous l’olivier n°01
" Alea jacta est[1] "
L’arbre occupe une place importante dans toutes les communautés et ce depuis l’origine de l’humanité. Dans les sociétés humaines restées proches du monde rural, il est un élément essentiel et incontournable  de la vie communautaire. Quel que soit le végétal retenu, c’est autour de lui,  c’est sous ses branches que se prenaient les décisions les plus importantes. C’était avant que ne s’édifie les acropoles, les forums, les maisons communes et toutes ses bâtisses où se réunissent les représentants de la population.
Olivier en Afrique du Nord, il couvrait de ses branches les réunions de la Djamaa ancestrale ; palmier – repère d’eau  dans les oasis des pays désertiques, il sauvait du désespoir de l’errance les aventuriers perdus dans l’immensité aréneuse ; cèdre du Liban et du Moyen Orient abritant de son ombrage les amateurs de narguilé et les supporteurs des monothéismes ; chêne des pays celtes sur lequel les druides, émules du mage Merlin l’Enchanteur, cueillaient le gui béni à l’aube de l’année nouvelle ou celui sous lequel le roi Louis le neuvième aimait rendre la justice avant d’aller, en croisé, assiégé Tunis où il trépassa de la peste ; baobab de l’Afrique subsaharienne symbole de la vie au milieu de la savane où rugissent les lions et galopent les zèbres, il est toujours présent pour entendre et enregistrer dans ses cellules végétales millénaires les discours, les rengaines, les vociférations de rage, les clameurs de bonheur, de joie et les cris de peine.
Racines, troncs, branches, feuillages et fruits, ce "tout en un " est l’abri idéal pour les paroles libres, sans entraves, sans tabou. Au fil de l’évolution de l’humanité, dans les différentes formes qu’il revêt, il en a entendu de toutes les couleurs, : sous le pommier, en croquant à belles dents la pomme de la Vie, les tout premiers, Adam et Eve murmurèrent les premiers mots interdits et perçurent pour la première fois la laideur de la beauté défendue aux regards ; sous les fins branchages de la treille lourdement chargée de grappes sucrées, Bacchus s’enivrait du jus qui s’en écoulait et libérait ses élans passionnés ; au pied du palmier, au creux de ses racines, le voyageur égaré recouvrait la vie en buvant dans des mains desséchées et affaiblies, maladroitement rassemblées en forme de coupe, les gorgées d’eau pas toujours potable, au sens moderne, mais revitalisante.
Sous ses branches tutélaires s’épanchaient les mots venus du fond du cœur, du plus profond des entrailles. Des envolées verbales quelquefois dithyrambiques mais souvent, trop souvent même, des borborygmes inaudibles, sans raison, sans logique. Toujours empreintes de sens pour leurs auteurs mais incompréhensibles pour les auditeurs. 
Espace de subjectivité, il se vêt d’atours qu’il ne possède pas, se donne des airs d’élégance pompeuse qui ne lui corresponde pas. Voilà, très brièvement décrite, ce que sera cette chronique qui renverra, vers un temps passé et oublié depuis une éternité, les lecteurs qui n’ont plus vingt ans depuis longtemps.
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Commentaires dans le groupe fermé FOREPS
Des membres du groupe FOREPS n’ayant pas saisi le concept de la chronique, nous avons été dans l’obligation d’en préciser le contour. La publication n’ayant pas été générale nous le faisons maintenant. La totalité des commentaires entourant ces précisions ont été repris dans un « copier-coller » qui permet de cerner pourquoi nous avons été amenés à apporter ces précisions.
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Jeux olympiques. Polémiques. Les contours du déballage médiatique. (Laaziz Ath Ighbane)
Ghali Fouatih Très bien écrit monsieur énorme métaphore il y a dans ce récit beaucoup de vérité chapeau à votre subtilité
J’aime · Répondre · 29 août, 11:51
Mohamed Kaddour Chlkh C bien dit cher Ghozali nous ce qui compte le plus dans toute federation qui se respecte c le nbs augmentant des licenciés sportive s et le role du comité Olympique c d'être representant de meilleure performance quitte à envoyer un unique participant mais sûr d'une medaille c très simple la performance parle, et non une smala sportive enfants et bagages au frais de l'Algerie et un ministre qui applaudit sans bilan objectif...les personnes que vous citer sont connues en tant qu'athletes du temps ou de vrais responsables profs de sport dirigé cette fedration et de ht personnalités dirigé la COA et ce depuis l'indépendance ,et ne se chamaillaient pour une élection mais travaillaient honnêtement l'athlétisme qui etait florissant dans toute ses ateliers perche comprise hauteur lancers, sans compter Boualem Rahoui et avant lui et après lui...Quand on demande des resultats techniques c que la participation est faible et la depense est forte car c une mauvaise préparation reconnue ds un pays logique on présente sa démission et on attend...car c p un poste de travail mais un bénévolat ou seul le resultat compte...nb les athletes ne durent qu'un temps celui de la performance mondiale pas autre chose.....l'athlétisme avant tout et pour les athletes tres nombreux...
J’aime · Répondre · 2 · 29 août, 15:51
Mohamed Kaddour Chlkh Cher ami tu temps ou Bouras érudit à l'ISTS et Brahmia a la fac de droit l' Athlétisme le CO A se portait très bien avec les Baghdadis Rouab Lounas.grands athlètes et dirigeants et j'en oublie gd NB dont Guemmar Rahoui Saad Reski. Djerbal Boudjemaa et beaucoup dans les ligues donc cp ces 2 lascars qui ont brûlé les archives du passé qui sont les dieux de l'olympisme donc enquêter sur l' histoire du sport au de la plubicite élective ou apprenez à mieux écrire sur la politique du sport
J’aime · Répondre · 30 août, 16:15
Laziz Makhloufi Nous n'avons pas la prétention d'écrire l'histoire du sport, etc. D'autres sont mieux outillés sur le plan de la méthodologie et pour avoir vécu de près l'histoire et quelquefois pour avoir tenu les commandes.
Vous êtes un nouveau lecteur de " Sous l'olivier", je vous renvoie à la première chronique qui en explique la philosophie: rédiger une réflexion personnelle structurée sur un fait sportif qui attire MON attention.
Cette réflexion pose les éléments du débat qui agite MON esprit et ME permet de ne pas vieillir idiot.
Dans une seconde étape, ces chroniques ont été proposées à la lecture de MES amis avant d'être étendues à ceux qui ont souhaité faire partie des réseaux qui se sont constitués ou agrégés autour.
Ces chroniques sont le fruit de MON vécu dans le mouvement sportif algérien, de MES relations avec quelques acteurs, de MES lectures et de MA compréhension de rapports audio et télévisés. Cet ensemble me permet d'aboutir à une conclusion qui est la MIENNE et que je n'impose à personne.
Chacun avec SON propre vécu, avec SON expertise devrait construire SA propre perception du fait.
VOTRE réaction à mon écrit (favorable ou défavorable, applaudissements ou insultes) m'est (même si je n'en ai pas connaissance) procuration de satisfaction morale. L'idéal serait que le concept de "Sous l'olivier" amène chacun a apporté son obole. Ici ou ailleurs.
Pour conclure cet échange, je vous prie de noter qu'il n'y a pas de "les Baghdadis" mais plutôt les "Si Mohamed" Baghdadi et Djamel.
Je profite de l'occasion pour les saluer ainsi que madame Nadira et Samy.
J’aime · Répondre · 1 · 30 août, 17:08 · Modifié
Mohamed Kaddour Chlkh Mais c l'affaire des historiens mais pas des journalistes quand on veut une vraie histoitre du sport en Algerie mais faire l'histoire des personnes il est souhaitable d'écrire leur mémoires et non leur publicité elective mans la revue d'EPS et pas de journaux sportifs par des journalistes spécialisés
J’aime · Répondre · 30 août, 18:14
Mohamed Kaddour Chlkh NB l' un était mon directeur du sport au MJS et mon directeur au CNS et toi tu écris sur B et B comme les fondateurs de l'athlétisme là tu insultes l'histoire du sport
J’aime · Répondre · 30 août, 18:22
Laziz Makhloufi Mon cher, je crois qu'il y a un gros problème de compréhension de votre part. Je n'oserais certainement pas comparer Bouras, Brahmia, etc. aux personnes que vous avez citées (les Si Mohamed, Rouab, Lounnas, Guemmar).
Simplement y penser une micro seconde serait une insulte impardonnable.
J’aime · Répondre · 30 août, 19:46
Mohamed Kaddour Chlkh Alors on est en accord et mille excuses pour cette sémantique de ma part je suis dans le MJS depuis 1968 et en retraite depuis 2010 le mt sportif avait de la noblesse et le forum de la liberté existait en sport malgré le parti unique.
J’aime · Répondre · 30 août, 20:44
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Jeux olympiques /Polémiques (3) Ahmed Mahour Bacha, l’agitateur
Akacha Ali De longue durée its et ists ( 3 et 5 ans).................
J’aime · Répondre · 1 septembre, 16:28
Laziz Makhloufi Formant des techniciens supérieurs de sports et des conseillers du sport.
J’aime · Répondre · 1 septembre, 17:00
Mohamed Kaddour Chlkh Tous formé universel pour le haut niveau et ne peuvent y aller à la source vu la hauteur du diplôme mais qui façonne la pâte personne Une bonne élite découle d'une grande masse habituée à pratiquer.ne serait-il que 2h/semaine mais la masse est au rez chaussée et là-haut la descente est difficile et Alger c les hauteurs
J’aime · Répondre · 1 septembre, 19:44
Mohamed Kaddour Chlkh Mais cher écrivain vous dressez un portrait d'une personne qui a représenté son pays honorablement et de sa passion en a fait un métier une profession honorable' un bon fonctionnaire avec un seul metier dont le résultat malgré une 5 ème place a plu à toute l ' Algérie .Maintenant votre liberté en tant que directeur de campagne d'elections claires ne peut vous pousser à la diffamation sur la personnalité de ce monsieur à moins que comme B vous avez 2 metiers ecrivain et psychologue et peut-etre sociologue ca d 2metiers 2 misères. .Alors sur les 2 conférences que j'ai suivi j'ai vu l'arrogancechez l'un et la simplicité chez l'autre,la facilité du verbe et la clarté du travail
J’aime · Répondre · 31 août, 14:17
Laziz Makhloufi Encore un problème de compréhension. Le portrait de AMB est heureusement bien daté : juillet 89 et première rencontre.
Dans ce qui pour vous est l'histoire de l'athlétisme, il s'agit d'un MOMENT qui a une explication possible qui sera donnée.
Dans son intervention d'il y a quelques heures, AMB m'a effectivement paru plus apaisé. MES impressions sur les deux autres (Bouras, et Brahmia) vous les aurez dans les jours.
Merci de m'obliger à faire de la "pub" pour mes futures chroniques.
Contrairement à ce que vous pensez, aucun des trois ne m'a mis et ne me mettra dans sa liste de "pique assiettes". Au cas où vous ne le sauriez pas cette expression est de AMB.
Merci de m'ouvrir les yeux vous qui offrez des opportunités d'avenir à un vieux bonhomme qui ne dispose même pas d'un passeport.
Aussi serait je tenté de courir m'en faire établir un.
Londres 2017 est proche avec une certitude: je ne serai pas du voyage!
Les trois me reprocheraient de tourner ma veste.
J’aime · Répondre · 31 août, 16:33 · Modifié
Mohamed Kaddour Chlkh Je vous rappelle que je peut-être plus vieux que vous et j'ai commencé la compétition sportive du temps pu on regroupait l'élite nationales toutes disciplines FB avec Lalmas compris aux groupes laïcs à 2pas du MJS et au cneps e 68 qd si Mohamed
J’aime · Répondre · 31 août, 16:38
Mohamed Kaddour Chlkh était cenceur à A Rachid
J’aime · Répondre · 31 août, 16:40
Mohamed Kaddour Chlkh Un portrait de 1989 le mode a changé depuis seul les rancoeurs demeurent évitez le réchauffé c indigeste et voyagez avec votre passeport ça vaut une grande liberté la terre à ceux qui la travaille le sport c une santé politique.
J’aime · Répondre · 31 août, 16:45
Akacha Ali A la différence des grands noms de l athletisme que vous avez cités, Ahmed a fait une formation de haut niveau de plus de 5 années à l ISTS......................
J’aime · Répondre · 31 août, 15:46
Laziz Makhloufi Typiquement algérien, cette aptitude à noyer le poisson, à tenter de détourner le débat.
Sakina Boutamine (mes respects, madame) est titulaire d'un magister en droit antérieur au diplôme de conseiller en sport d'AMB. Quant aux autres, ils ont réussi leurs vies professionnelles avec leurs capacités individuelles. N'est-ce-pas Rahoui Boualem (mes salutations) ? À comparaisons égales, voir les trajectoires et le comportement d'autres diplômés de l'ISTS. Le comparez-vous à Lounnas, Rouab, Hakoumi, et tant d'autres qui honorent cet établissement et celui qui en a écorné la réputation.
J’aime · Répondre · 31 août, 16:43
Akacha Ali Lui en plus est un homme de terrain par rapport aux bureaucrates que vous avez cités et il a fait des médaillés olympique et la dernière 5ème place et a été aussi un grand athlète et je n’ai pas de poisson et je détourne rien du tout, ce n’est simplement un avis et je respecte le vôtre sportivement
J’aime · Répondre · 31 août, 17:04
Laziz Makhloufi Médailles olympiques? Aurais-je manqué quelque chose dans l'histoire de l'athlétisme algérien?
J’aime · Répondre · 31 août, 17:16
Akacha Ali pardon avec plus de moyens aurait pu faire des médaillés olympiques
J’aime · Répondre · 31 août, 17:19
Laziz Makhloufi Akacha Ali votre avis est aussi respectable comme tous ceux qui veulent bien commenter.
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 17:21
Akacha Ali merci cher ami
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 17:22
Laziz Makhloufi Comme je l'ai écrit hier à l'intention des lecteurs de "Sous l'olivier" il y a dans le groupe des lecteurs qui ont pris le train en marche. Chacun peut y proposer son opinion sur un sujet donné comme dans la "Tajmaat " des Amazighs dans le respect des autres.  "Sous l'olivier" est un espace de débat qui se veut fécond, enrichissant pour tous et où chacun apporte sa pierre.
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 17:51
Souad Bendekkiche Un débat très riche
J’aime · Répondre · 31 août, 21:54
Laziz Makhloufi Lire mes prochaines chroniques 
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 16:23
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Polémiques (10) Nouria a vieilli (Laaziz Ath Ighbane)
Baghdadi Si Mohamed Quelle délicatesse! Nouria méritait bien mieux.
J’aime · Répondre · Hier, à 09:58
Saida Younsi : il y a tellement de parenthèses ouvertes et de sous-entendus que je n'ai pas compris le message que vous vouliez passer
J’aime · Répondre · 14 h
Laziz Makhloufi : Lire les chroniques précédentes. C'est une suite.
J’aime · Répondre · 1 · 13 h
Laziz Makhloufi : Une précision, madame. Je vous renvoie à la toute première chronique de "Sous l'olivier" (celle qui explique la place de l'arbre dans l'histoire embellie de l’humanité) et de la chronique qui inaugura la publication sur les réseaux sociaux Facebook).
Depuis notre retraite, notre ermitage, notre éloignement du mouvement sportif, il s'agit pour nous de comprendre un fait sportif à partir de notre vécu, de notre connaissance du milieu.
De ce qui est, nous le concédons, subjectif nous tentons de rédiger une chronique structurée qui n'était pas initialement destinée à être publiée.
Notre pensée, notre réflexion est nourrie par ce qui est médiatisé dans la presse, par les journaux, les radios et les télés. Des informations souvent tendancieuses que nous passons avec plus ou moins de bonheur, au filtre de l'analyse du discours en empruntant la démarche de la praxématique qui est celle d'une vision multi dimensionnelle de la parole en tant qu'outil de communication et du discours portée par "l'école de Montpellier" (Robert Laffont, Paul Siblot) de la sociolinguistique.
Nos chroniques, malgré les champs sémantiques que l'on peut y déceler, n'imposent pas de points de vue, de conclusions toutes faites.
Chacun se doit de construire sa propre vision, à partir de la Connaissance qu'il a du fait.
Toute réaction (quelle qu'elle soit) est la bienvenue, exprimée ou non, publiée ou non.
Une réaction contradictoire est un "must". Elle nourrit le débat, l'enrichit.
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[1] « Le sort en est jeté ». Ce furent les mots que prononça Jules César en franchissant, à la tête de son armée, le Rubicon, une rivière proche de Rome que ne devait pas franchir les hommes en armes.

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