La chronique « Sous l’olivier » est publiée sur les réseaux
sociaux :
Ø Groupe fermé « Athlétisme »
Ø Groupe fermé « FOREPS »
Ø Page Facebook « Sous l’olivier »
Ø Sur le blog « sousolivier. blogspot.com » qui entraîne
une publication sur Google+
NB : Pendant quelques temps, elle a été publiée dans le groupe
fermé « Athlétisme : info live » qui offre une belle couverture factuelle
de l’athlétisme algérien. Une page dont nous recommandons la lecture.
Ayant le sentiment de l’avoir squatté et d’en avoir pollué le concept
nous avons cessé d’y publier la chronique. Il en sera de même de la page FOREPS
lorsque celle-ci aura retrouvé toute sa dynamique. Ce qui semble être en bonne
voie.
Nous projetons également de mettre fin au groupe « Athlétisme »
qui ne répond pas au concept originel d’ouverture et que nous avons "fermé"
par méconnaissance des options Facebook.
D’ici le fin du mois, la chronique ne sera publiée que sur la page « Sous
l’olivier » et sur le blog « sousolivier. blogspot.com » qui
rassemble la totalité des chroniques et quelques articles (Makhloufi,
athlétisme constantinois, handisports).
Le concept de « Sous l’olivier » n’ayant pas été compris par
de nombreux nouveaux lecteurs, nous publions ici et maintenant ce qui pourrait
permettre de mieux l’appréhender.
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Le 16 février
2016, à l’occasion de la première publication de « Sous l’olivier »
sur Facebook, nous écrivions :
« Aujourd’hui,
lancement de la page Facebook intitulée « Sous l’olivier », venant en appoint à la publication de la
chronique sportive éponyme paraissant, du samedi au jeudi, dans les colonnes du
quotidien sportif algérois « Le Géant Sportif » ainsi
que dans le blog « sousolivier.blogspot.com » et sur
Google +.
Cette
chronique délaisse la fonction première
de la presse consistant à informer les lecteurs. N’ayant pas la
prétention de rivaliser sur ce plan avec nos confrères, nous avons choisi
d’explorer la seconde fonction, celle qui veut en faire un outil pédagogique
qui inciterait le lectorat à explorer des aspects très peu souvent mis en
avant.
La
première chronique a situé son contexte. Voir autrement les thématiques, les
faits et les situations qui ont attiré notre attention. Leur perception est
tout à fait subjective. Nous réagissons en fonction de nos connaissances et de
notre vécu et tentons de structurer notre compréhension et notre argumentation
en fonction d’une contrainte matérielle et éditoriale impitoyable qui nous
conduit trop souvent à des schématisations qui peuvent paraître insupportables
à ceux qui prétendent détenir la Vérité ou du moins les éléments constitutifs.
La
grille de lecture proposée à nos lecteurs ne prétend pas être un instrument
apte à l’émergence de la Vérité, une notion vide de sens lorsqu’on la confronte
à l’immensité du Savoir humain accumulé depuis des millénaires et aussi et
surtout à ces idéologies multiples qui la traverse et aux expériences
individuelles des lecteurs qui en feront irrémédiablement la critique.
La
chronique « Sous l’olivier » se voulait et se veut
toujours un espace d’échanges, comme le fut sous nos cieux méditerranéens cet
arbre millénaire dont un bout de branche emporté par une colombe blanche incite
à la paix alors que la possession de la terre qui le porte mène à la guerre.
Pour
de nombreuses raisons, nous vous proposons la lecture de la toute première
chronique « Alea jacta est ». En hors d’œuvre à la parution de la
suite de la chronique interrompue pendant plusieurs semaines. Une deuxième
série en quelque sorte. »
+++++++++
Sous l’olivier n°01
L’arbre occupe
une place importante dans toutes les communautés et ce depuis l’origine de
l’humanité. Dans les sociétés humaines restées proches du monde rural, il est
un élément essentiel et incontournable
de la vie communautaire. Quel que soit le végétal retenu, c’est autour
de lui, c’est sous ses branches que se
prenaient les décisions les plus importantes. C’était avant que ne s’édifie les
acropoles, les forums, les maisons communes et toutes ses bâtisses où se
réunissent les représentants de la population.
Olivier en
Afrique du Nord, il couvrait de ses branches les réunions de la Djamaa
ancestrale ; palmier – repère d’eau
dans les oasis des pays désertiques, il sauvait du désespoir de
l’errance les aventuriers perdus dans l’immensité aréneuse ; cèdre du
Liban et du Moyen Orient abritant de son ombrage les amateurs de narguilé et
les supporteurs des monothéismes ; chêne des pays celtes sur lequel les
druides, émules du mage Merlin l’Enchanteur, cueillaient le gui béni à l’aube
de l’année nouvelle ou celui sous lequel le roi Louis le neuvième aimait rendre
la justice avant d’aller, en croisé, assiégé Tunis où il trépassa de la
peste ; baobab de l’Afrique subsaharienne symbole de la vie au milieu de
la savane où rugissent les lions et galopent les zèbres, il est toujours
présent pour entendre et enregistrer dans ses cellules végétales millénaires
les discours, les rengaines, les vociférations de rage, les clameurs de
bonheur, de joie et les cris de peine.
Racines,
troncs, branches, feuillages et fruits, ce "tout en un " est
l’abri idéal pour les paroles libres, sans entraves, sans tabou. Au fil de
l’évolution de l’humanité, dans les différentes formes qu’il revêt, il en a
entendu de toutes les couleurs, : sous le pommier, en croquant à belles
dents la pomme de la Vie, les tout premiers, Adam et Eve murmurèrent les
premiers mots interdits et perçurent pour la première fois la laideur de la
beauté défendue aux regards ; sous les fins branchages de la treille
lourdement chargée de grappes sucrées, Bacchus s’enivrait du jus qui s’en
écoulait et libérait ses élans passionnés ; au pied du palmier, au creux
de ses racines, le voyageur égaré recouvrait la vie en buvant dans des mains
desséchées et affaiblies, maladroitement rassemblées en forme de coupe, les
gorgées d’eau pas toujours potable, au sens moderne, mais revitalisante.
Sous ses
branches tutélaires s’épanchaient les mots venus du fond du cœur, du plus
profond des entrailles. Des envolées verbales quelquefois dithyrambiques mais
souvent, trop souvent même, des borborygmes inaudibles, sans raison, sans
logique. Toujours empreintes de sens pour leurs auteurs mais incompréhensibles
pour les auditeurs.
Espace de
subjectivité, il se vêt d’atours qu’il ne possède pas, se donne des airs
d’élégance pompeuse qui ne lui corresponde pas. Voilà, très brièvement décrite,
ce que sera cette chronique qui renverra, vers un temps passé et oublié depuis
une éternité, les lecteurs qui n’ont plus vingt ans depuis longtemps.
+++++++++
Commentaires
dans le groupe fermé FOREPS
Des membres du
groupe FOREPS n’ayant pas saisi le concept de la chronique, nous avons été dans
l’obligation d’en préciser le contour. La publication n’ayant pas été générale
nous le faisons maintenant. La totalité des commentaires entourant ces
précisions ont été repris dans un « copier-coller » qui permet
de cerner pourquoi nous avons été amenés à apporter ces précisions.
++++++++++
Jeux olympiques.
Polémiques. Les contours du déballage médiatique. (Laaziz Ath Ighbane)
Ghali
Fouatih Très bien écrit monsieur énorme métaphore il y a dans ce récit beaucoup
de vérité chapeau à votre subtilité
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Répondre · 29 août, 11:51
Mohamed
Kaddour Chlkh C bien dit cher Ghozali nous ce qui compte le plus dans toute
federation qui se respecte c le nbs augmentant des licenciés sportive s et le
role du comité Olympique c d'être representant de meilleure performance quitte
à envoyer un unique participant mais sûr d'une medaille c très simple la
performance parle, et non une smala sportive enfants et bagages au frais de
l'Algerie et un ministre qui applaudit sans bilan objectif...les personnes que
vous citer sont connues en tant qu'athletes du temps ou de vrais responsables
profs de sport dirigé cette fedration et de ht personnalités dirigé la COA et
ce depuis l'indépendance ,et ne se chamaillaient pour une élection mais
travaillaient honnêtement l'athlétisme qui etait florissant dans toute ses
ateliers perche comprise hauteur lancers, sans compter Boualem Rahoui et avant
lui et après lui...Quand on demande des resultats techniques c que la
participation est faible et la depense est forte car c une mauvaise préparation
reconnue ds un pays logique on présente sa démission et on attend...car c p un
poste de travail mais un bénévolat ou seul le resultat compte...nb les athletes
ne durent qu'un temps celui de la performance mondiale pas autre
chose.....l'athlétisme avant tout et pour les athletes tres nombreux...
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Répondre · 2 · 29 août, 15:51
Mohamed
Kaddour Chlkh Cher ami tu temps ou Bouras érudit à l'ISTS et Brahmia a la fac
de droit l' Athlétisme le CO A se portait très bien avec les Baghdadis Rouab
Lounas.grands athlètes et dirigeants et j'en oublie gd NB dont Guemmar Rahoui
Saad Reski. Djerbal Boudjemaa et beaucoup dans les ligues donc cp ces 2 lascars
qui ont brûlé les archives du passé qui sont les dieux de l'olympisme donc
enquêter sur l' histoire du sport au de la plubicite élective ou apprenez à
mieux écrire sur la politique du sport
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Répondre · 30 août, 16:15
Laziz
Makhloufi Nous n'avons pas la prétention d'écrire l'histoire du sport, etc.
D'autres sont mieux outillés sur le plan de la méthodologie et pour avoir vécu
de près l'histoire et quelquefois pour avoir tenu les commandes.
Vous êtes un
nouveau lecteur de " Sous l'olivier", je vous renvoie à la première
chronique qui en explique la philosophie: rédiger une réflexion personnelle
structurée sur un fait sportif qui attire MON attention.
Cette réflexion
pose les éléments du débat qui agite MON esprit et ME permet de ne pas vieillir
idiot.
Dans une
seconde étape, ces chroniques ont été proposées à la lecture de MES amis avant
d'être étendues à ceux qui ont souhaité faire partie des réseaux qui se sont constitués
ou agrégés autour.
Ces
chroniques sont le fruit de MON vécu dans le mouvement sportif algérien, de MES
relations avec quelques acteurs, de MES lectures et de MA compréhension de
rapports audio et télévisés. Cet ensemble me permet d'aboutir à une conclusion
qui est la MIENNE et que je n'impose à personne.
Chacun avec
SON propre vécu, avec SON expertise devrait construire SA propre perception du
fait.
VOTRE
réaction à mon écrit (favorable ou défavorable, applaudissements ou insultes)
m'est (même si je n'en ai pas connaissance) procuration de satisfaction morale.
L'idéal serait que le concept de "Sous l'olivier" amène chacun a
apporté son obole. Ici ou ailleurs.
Pour
conclure cet échange, je vous prie de noter qu'il n'y a pas de "les
Baghdadis" mais plutôt les "Si Mohamed" Baghdadi et Djamel.
Je profite
de l'occasion pour les saluer ainsi que madame Nadira et Samy.
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Répondre · 1 · 30 août, 17:08 · Modifié
Mohamed
Kaddour Chlkh Mais c l'affaire des historiens mais pas des journalistes quand
on veut une vraie histoitre du sport en Algerie mais faire l'histoire des
personnes il est souhaitable d'écrire leur mémoires et non leur publicité
elective mans la revue d'EPS et pas de journaux sportifs par des journalistes
spécialisés
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Répondre · 30 août, 18:14
Mohamed
Kaddour Chlkh NB l' un était mon directeur du sport au MJS et mon directeur au
CNS et toi tu écris sur B et B comme les fondateurs de l'athlétisme là tu
insultes l'histoire du sport
J’aime ·
Répondre · 30 août, 18:22
Laziz
Makhloufi Mon cher, je crois qu'il y a un gros problème de compréhension de
votre part. Je n'oserais certainement pas comparer Bouras, Brahmia, etc. aux
personnes que vous avez citées (les Si Mohamed, Rouab, Lounnas, Guemmar).
Simplement y
penser une micro seconde serait une insulte impardonnable.
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Répondre · 30 août, 19:46
Mohamed Kaddour Chlkh Alors on est en accord et mille excuses pour
cette sémantique de ma part je suis dans le MJS depuis 1968 et en retraite
depuis 2010 le mt sportif avait de la noblesse et le forum de la liberté
existait en sport malgré le parti unique.
J’aime · Répondre · 30 août, 20:44
+++++++++
Jeux olympiques /Polémiques (3) Ahmed Mahour Bacha, l’agitateur
Akacha Ali De longue durée its et ists ( 3 et 5
ans).................
J’aime · Répondre · 1 septembre, 16:28
Laziz Makhloufi Formant des techniciens supérieurs de sports
et des conseillers du sport.
J’aime · Répondre · 1 septembre, 17:00
Mohamed Kaddour Chlkh Tous formé universel pour le haut
niveau et ne peuvent y aller à la source vu la hauteur du diplôme mais qui
façonne la pâte personne Une bonne élite découle d'une grande masse habituée à
pratiquer.ne serait-il que 2h/semaine mais la masse est au rez chaussée et là-haut
la descente est difficile et Alger c les hauteurs
J’aime · Répondre · 1 septembre, 19:44
Mohamed Kaddour Chlkh Mais cher écrivain vous dressez un
portrait d'une personne qui a représenté son pays honorablement et de sa
passion en a fait un métier une profession honorable' un bon fonctionnaire avec
un seul metier dont le résultat malgré une 5 ème place a plu à toute l '
Algérie .Maintenant votre liberté en tant que directeur de campagne d'elections
claires ne peut vous pousser à la diffamation sur la personnalité de ce
monsieur à moins que comme B vous avez 2 metiers ecrivain et psychologue et peut-etre
sociologue ca d 2metiers 2 misères. .Alors sur les 2 conférences que j'ai suivi
j'ai vu l'arrogancechez l'un et la simplicité chez l'autre,la facilité du verbe
et la clarté du travail
J’aime · Répondre · 31 août, 14:17
Laziz Makhloufi Encore un problème de compréhension. Le
portrait de AMB est heureusement bien daté : juillet 89 et première rencontre.
Dans ce qui pour vous est l'histoire de l'athlétisme, il
s'agit d'un MOMENT qui a une explication possible qui sera donnée.
Dans son intervention d'il y a quelques heures, AMB m'a
effectivement paru plus apaisé. MES impressions sur les deux autres (Bouras, et
Brahmia) vous les aurez dans les jours.
Merci de m'obliger à faire de la "pub" pour mes
futures chroniques.
Contrairement à ce que vous pensez, aucun des trois ne m'a
mis et ne me mettra dans sa liste de "pique assiettes". Au cas où
vous ne le sauriez pas cette expression est de AMB.
Merci de m'ouvrir les yeux vous qui offrez des opportunités
d'avenir à un vieux bonhomme qui ne dispose même pas d'un passeport.
Aussi serait je tenté de courir m'en faire établir un.
Londres 2017 est proche avec une certitude: je ne serai pas
du voyage!
Les trois me reprocheraient de tourner ma veste.
J’aime · Répondre · 31 août, 16:33 · Modifié
Mohamed Kaddour Chlkh Je vous rappelle que je peut-être plus
vieux que vous et j'ai commencé la compétition sportive du temps pu on
regroupait l'élite nationales toutes disciplines FB avec Lalmas compris aux
groupes laïcs à 2pas du MJS et au cneps e 68 qd si Mohamed
J’aime · Répondre · 31 août, 16:38
Mohamed Kaddour Chlkh était cenceur à A Rachid
J’aime · Répondre · 31 août, 16:40
Mohamed Kaddour Chlkh Un portrait de 1989 le mode a changé
depuis seul les rancoeurs demeurent évitez le réchauffé c indigeste et voyagez
avec votre passeport ça vaut une grande liberté la terre à ceux qui la
travaille le sport c une santé politique.
J’aime · Répondre · 31 août, 16:45
Akacha Ali A la différence des grands noms de l athletisme
que vous avez cités, Ahmed a fait une formation de haut niveau de plus de 5
années à l ISTS......................
J’aime · Répondre · 31 août, 15:46
Laziz Makhloufi Typiquement algérien, cette aptitude à noyer
le poisson, à tenter de détourner le débat.
Sakina Boutamine (mes respects, madame) est titulaire d'un
magister en droit antérieur au diplôme de conseiller en sport d'AMB. Quant aux
autres, ils ont réussi leurs vies professionnelles avec leurs capacités
individuelles. N'est-ce-pas Rahoui Boualem (mes salutations) ? À
comparaisons égales, voir les trajectoires et le comportement d'autres diplômés
de l'ISTS. Le comparez-vous à Lounnas, Rouab, Hakoumi, et tant d'autres qui
honorent cet établissement et celui qui en a écorné la réputation.
J’aime · Répondre · 31 août, 16:43
Akacha Ali Lui en plus est un homme de terrain par rapport
aux bureaucrates que vous avez cités et il a fait des médaillés olympique et la
dernière 5ème place et a été aussi un grand athlète et je n’ai pas
de poisson et je détourne rien du tout, ce n’est simplement un avis et je
respecte le vôtre sportivement
J’aime · Répondre · 31 août, 17:04
Laziz Makhloufi Médailles olympiques? Aurais-je manqué
quelque chose dans l'histoire de l'athlétisme algérien?
J’aime · Répondre · 31 août, 17:16
Akacha Ali pardon avec plus de moyens aurait pu faire des
médaillés olympiques
J’aime · Répondre · 31 août, 17:19
Laziz Makhloufi Akacha Ali votre avis est aussi respectable
comme tous ceux qui veulent bien commenter.
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 17:21
Akacha Ali merci cher ami
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 17:22
Laziz Makhloufi Comme je l'ai écrit hier à l'intention des
lecteurs de "Sous l'olivier" il y a dans le groupe des lecteurs qui
ont pris le train en marche. Chacun peut y proposer son opinion sur un sujet
donné comme dans la "Tajmaat " des Amazighs dans le respect des
autres. "Sous l'olivier" est un espace de débat qui se veut
fécond, enrichissant pour tous et où chacun apporte sa pierre.
J’aime · Répondre · 1 · 31 août, 17:51
Souad Bendekkiche Un débat très riche
J’aime · Répondre · 31 août, 21:54
Laziz Makhloufi Lire mes prochaines chroniques
J’aime · Répondre · 1 · 31 août,
16:23
+++++++
Polémiques (10)
Nouria a vieilli (Laaziz Ath Ighbane)
Baghdadi Si
Mohamed Quelle délicatesse! Nouria méritait bien mieux.
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Répondre · Hier, à 09:58
Saida Younsi :
il y a tellement de parenthèses ouvertes et de sous-entendus que je n'ai pas
compris le message que vous vouliez passer
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Répondre · 14 h
Laziz Makhloufi :
Lire les chroniques précédentes. C'est une suite.
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Répondre · 1 · 13 h
Laziz Makhloufi :
Une précision, madame. Je vous renvoie à la toute première chronique de
"Sous l'olivier" (celle qui explique la place de l'arbre dans
l'histoire embellie de l’humanité) et de la chronique qui inaugura la
publication sur les réseaux sociaux Facebook).
Depuis notre
retraite, notre ermitage, notre éloignement du mouvement sportif, il s'agit
pour nous de comprendre un fait sportif à partir de notre vécu, de notre
connaissance du milieu.
De ce qui est,
nous le concédons, subjectif nous tentons de rédiger une chronique structurée
qui n'était pas initialement destinée à être publiée.
Notre pensée,
notre réflexion est nourrie par ce qui est médiatisé dans la presse, par les
journaux, les radios et les télés. Des informations souvent tendancieuses que
nous passons avec plus ou moins de bonheur, au filtre de l'analyse du discours
en empruntant la démarche de la praxématique qui est celle d'une vision multi
dimensionnelle de la parole en tant qu'outil de communication et du discours
portée par "l'école de Montpellier" (Robert Laffont, Paul Siblot) de
la sociolinguistique.
Nos chroniques,
malgré les champs sémantiques que l'on peut y déceler, n'imposent pas de points
de vue, de conclusions toutes faites.
Chacun se doit
de construire sa propre vision, à partir de la Connaissance qu'il a du fait.
Toute réaction
(quelle qu'elle soit) est la bienvenue, exprimée ou non, publiée ou non.
Une réaction
contradictoire est un "must". Elle nourrit le débat, l'enrichit.
+++++++