Zhor Guidouche, dont
les valeurs ne devraient être pas celles qui ont cours aujourd’hui, a été (nous
le supposons) prise au dépourvue par les propos persuasifs tenue par Mahour
Bacha. Nous avons pensé que certainement
réveillée de son sommeil ou approchée alors qu’elle était occupée à des
missions olympiques tardives et nocturnes, alors que le besoin de dormir se
fait pressant, elle a probablement perdu
toute lucidité à la fois devant la déferlante des paroles de Mahour Bacha et la……
présence sédative, sécurisante du DTN de la fédération d’athlétisme.
De toute évidence, ce
que nous nous savons (ou que nous déduisons) maintenant de la nuit brésilienne n’a
pas été portée à la connaissance de Zhor Guidouche. Des suppositions qui n’ont presque
plus de consistance lorsque nous apprenons que, dès le début de l’année 2016,
Zhor Guidouche avait pris le parti du « clan diabolique »
lors de débats (qualifiés de violents) dans l’enceinte olympique entre les
responsables du COA et les représentants de l’athlétisme.
Quoiqu’il en soit, en
dépit de ces alliances souvent contre nature que nous décelons, Zhor Guidouche
est confrontée à une situation de crise réelle. Une situation créée de toutes
pièces et dont les protagonistes ne semblent percevoir une issue positive que
par la seule action du seul membre du COA disponible. Ou du membre olympique
susceptible d’être bernée…...par leur plan machiavélique qui fera le bonheur
des télévisions privées, et de quelques journaux et de leurs lecteurs.
A postériori, nous
noterons que les médaillés olympiques (Hammad et Saïd Guerni), probablement parce
qu’ils connaissent les agissements du quatuor Boubrit, Mahour Bacha, Bouraâda
et le kiné, bien que présents dès le début de l’incident, ne sont pas
intervenus et qu’ils ont vraisemblablement rejoint leurs pénates olympiques
laissant Mahour and Co se démener.
Remarquons que (nous
ne connaissons malheureusement pas tous les détails de cette soirée) l’on (plus
particulièrement Boubrit en sa qualité de DTN qui sait si bien faire la
courroie de transmission entre Moh Hocine et la CPO pour obtenir, en faveur du
premier cité, des avantages qui lui auraient été refusés en d’autres
circonstances) ne s’est pas adressé au chef de la délégation ou au trésorier
mais à un membre du comité olympique qui, sans doute croyant bien faire, a pris
sur elle, au nom de l’instance sportive, de parer au plus pressé. En fait,
depuis Alger, Zhor Guidouche est conditionnée subornée. Subjuguée, ensorcelée, elle
ne voit qu’à travers Mahour Bacha et derrière lui Amar Bouras.
Zhor Guidouche paiera
cher son acte. Au retour à Alger, elle sera appelée à se présenter devant l’instance
olympique qui la sanctionnera. Le prix de la confiance ! Ou de
l’incrédulité.
Décathlonien dopé en juin 2012, suspendu pendant deux années, Larbi Bouraâda évitera soigneusement, pendant
toute la période de préparation olympique et pendant…..toute l’olympiade,
d’évoquer le moindre problème. A Rio, il participe à ses premiers jeux
olympiques.
Il ne put disputer ceux de Londres parce qu’il s’était fait épinglé dans
un contrôle anti dopage, lors d’un meeting de décathlon en Allemagne qu’il
avait remporté et où il avait amélioré le record d’Afrique. Un résultat et une
performance qui furent effacés des statistiques mondiales. Pour ce faire, il
avait utilisé une aide médicamenteuse illicite. Bouraâda sait, depuis Rehligen,
depuis qu’un produit dopant a été découvert dans ses fluides que le problème c’est
sa propre personne….et son entraîneur en qui (malgré tout) il a toute
confiance. Il se fait tout petit, cherchant à passer inaperçu.
Pendant des années, Larbi Bouraâda n’a rien dit. Il se lâchera juste
après la fin des épreuves du décathlon. A ce moment-là, en ce jeudi soir du 18
août 2016, il est passé à côté de la médaille de bronze olympique que son
entraîneur et la fédération lui avait accroché au cou depuis quelques mois.
Depuis les championnats du monde de Pékin. Gardons-nous d’oublier également
qu’à Londres, son entraîneur le voyait déjà à ce niveau. Avec l’aide précieuse
du stanolozol. Un projet inabouti.
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